Fin juillet 1997, nous ne sommes que deux ou trois dans les murs des nouveaux bâtiments d’arts plastiques.
Il y a beaucoup de béton, des cimaises. Chocs, échos, enregistrements d’une journée à cogner de partout, à courir et sauter pour essayer d’avoir une histoire avec ce gros bunker où l’on devrait se sentir créatifs…