Je rentre juste de la performance que nous faisions avec Didier Arnaudet ce soir à la ménagerie de verre (paris) dans le cadre d’un festival organisé par Jérôme Mauche: La Ménagerie de Verre du 18 au 21 janvier 2006 convie huit écrivains à présenter des extensions de leurs travaux littéraires dans l’espace, vers l’image, le son ; à moins que ce soit huit plasticiens qui travaillent aussi l’écriture, la poésie ; ou simplement huit propositions entre littérature, musique, art contemporain et performance.
Le concert s’est bien passé, nous avons eu de très bons retours. A cause de mon accident de portable, j’ai joué avec une machine qui pèse plus de 20kg, avec des logiciels installés quatre heures avant la représentation… mais tout coule naturellement quand nous sommes devant un public. Cela faisait plusieurs mois que nous n’avions pas joué mais et finalement, notre travail ne prend vraiment sa dimension qu’en live. Le disque que nous avons sorti l’année dernière : à surveiller de près, à punir parfois, rend bien ses prises de risques liés à l’improvisation et finalement, l’exercice d’équilibre comme titre Didier est l’espace de notre collaboration, tout se passe là … merci à ceux qui sont venus nous voir ce soir.