Excellent Jacques, merci pour ton film, la puissance des couleurs, la plongée dans cet univers 3D qui se décompose sous les yeux en cascades d’artefacts, génial.
Si je puis me prononcer sur un détail, pourquoi coupes tu la séquence au montage dés le début du film, au moment ou tu quittes le lac pour rentrer dans les embranchements; petit à  petit la réalité se transforme pour laisser place aux jeux des couleurs, mais la coupe franche nous fait basculer à  nouveau dans l’effet (donc technique) alors que le rêve s’était déjà  emparé de nous…
Alex K.

On m’a deja posé cette question [c'est en partie pourquoi je reprends ce mail sur le site], en fait je voulais coller à  la réalité du trajet puisqu’en fait nous gagnons le courant à  la rame [nous traversons le lac de Léon] puis nous débarquons pour passer sur le courant ou le beteau glisse [porté par le fil de l'eau, il n'est que guidé]… En fait il y a une coupure dans notre voyage, l’effet veut accompagner ce voyage, on entre dans la magie, l’excitation monte tres vite, mais resdescend aussi quand on accoste – la barque se dirige vers la berge… Noir, là  le paysage quand nous reprenons la barque se dresse encore plus merveiulleux et la magie revient plus finement pour se prononcer plus violement… Je voulais que ca colle à  notre expérience….

[pas mal de personnes trouvent la réouverture magique, le passage où le noir disparait pixel apprè spixel, prit par des couleurs extraordinaires, il cède la place au paysage qui reprend place dans la matrice mathématique...]