Il la pousse doucement contre le mur. Il l’embrasse. Elle ferme la cuvette des chiottes et recule. Ils se coincent complètement dans le coin. Il lui défait la chemise pour l’embrasser. La pièce disparait.
Il sort de chez lui en courant, traverse la rue saute sur le trottoir d’en face en finissant d’enfiler sa veste. Il s’aloigne vite. Il ralentit, se retourne, s’arrête preque pour souffler. Il regarde devant lui, sort une cigarette. Il arrive devant une salle de concert. Il entre. Une fille de son age l’attend. Elle le prend dans ses bras lui donne son tiquet. Ils entrent.
Il la sent. il l’embrasse, la caresse, la lèche, la mord. Il ne voit plus que sa peau. Elle le tient. Elle le serre. Elle le regarde. Elle le pousse, elle le tire comme si elle pouvait encore l’approcher plus d’elle.
Les tissus glissent et s’écartent. Ils ne tombent pas. Persone nne le senlève. Ils sont juste poussés. Le smains se déplacent doucement. Le son s’étouffe.
Sa tête s’enfonce sous son bras. Le visage contre l’aisselle. La salive brille sur la peau. Sa main passe dessus, sa bouche ne tarde pas.