extrait (intégral): Ce n’est un secret pour personne, l’institution publique se désengage de l’art tandis que le privé y cherche encore sa voie. Dans ce contexte où la communication se substitue parfois à l’art, et le créateur est de plus en plus sommé de servir la soupe (de luxe de préférence, voir la H Box ou les projets de Chanel), le mur de boîtes à chaussures monté par Jacques Perconte dans la Galerie bordelaise, sorte de temple de la consommation au plafond de verre, esquisse une forme de réponse, plus subtile que son monumentalisme ne le laisse présager. [...] Perconte n’explique pas son mur, il le pose simplement en faisant remarquer qu’il permettra sans doute de ‟ manifester quelles positions l’art et la communication peuvent prendre aujourd’hui et comment il peut être délicat de les comprendre ”. A lire sur poptronics > Annick Rivoire : La Galerie bordelaise au pied du mur < janvier 2008 Jacques Perconte & Michard Ardillier’s Soldes d’hiver à Bordeaux, jusqu’au 19 janvier……