Des histoires de politique, des histoires d’argent… Grégoire Courtois explique sur fluctuat.net que l’art numérique français mort-né. La situation tendrait à assurer un avenir plus difficile pour les artistes ‟ numériques ” (entre autres). Plus difficile cela veut dire quasiment î ‟ do it yourself ”, où ‟ just do it ” que je préfère peut-être vu mes positions…
Je suis bien sur pour une structure dédié au soutien de la création numérique, pour une structure qui sache faire la part justement entre les choses, qui ne favorise pas forcément le spectacle vivant ou les effets à gogos : le multimédia interactif. Je suis pour des financements et surtout un soutient à la création. Un soutient, c’est une écoute et des réponses. L’argent et une de ces réponses mais pas la seule. Si l’état se limite à être un tiroir caisse on ne le respectera pas. S’il est censeur, on ne le respectera pas, s’il tient des positions favorisant certaines formes…. Ainsi de suite. Mais c’est évident et vrai pour tout… Alors bon si cela ne se fait pas c’est que cela arrange le plus grand nombre non ?
Je ne vais pas m’étaler, j’aurais plein de choses à dire mais bon… dernière chose, il ne faut pas confondre financements et diffusion. Je ne suis pas pour les réseaux de diffusion purement arts numériques.. On y attrape des maladies qui sévissent facilement en milieux clos. Il faut de l’air et de la diversité pour avoir une création en bonne santé.
ill. la magifique oeuvre interactive de l’église de Caudéran (Aquitaine). grace à la magie des nouvelles technologies, elle change de couleur progressivement, du vert au pourpre, au bleu, magnifique.