Je pense que je suis très souvent conditionné par l’absurde, tous ces soirs où je sors, et que je traverse les bars de la ville et que je croise les visages, ne cherchant que de moins en moins à comprendre ou à écouter qu’à rencontrer n’importe qui à qui j’imposerai ces tests aproximatifs, parcourant instinctivement à chaque fois les possibilités établies avec celle-ci en plus : en dehors, de réussir, de manquer, d’abandonner, de recommencer, d’attendre, il se peut que je meure – revenir à une réalité plus sobre, oublier qu’elle est là et passer à autre chose et pourquoi ? Qui sait.