Chacun a le droit d’avoir envie de choisir ses études dit-il, mais l’état n’a pas à supporter ces choix s’ils ne sont pas cohérents quant à l’avenir professionnel de celui qui choisit. Chacun est libre du plaisir de la connaissance. Voilà ce que l’avenir peut nous réserver. Là il faudra se battre pour supporter ses envies et ses choix. Est-ce que cela sera positif ? Ce qu’il faut comprendre en tout cas, c’est que ce n’est pas la protestation qui changera les choses mais l’action. Et pas une action de contestation mais une action constructive. Et pas une prise de bec au dernier moment ou encore pire, trop tard, mais un engament dans le temps. Mais quoi qu’il se passe il faudra que les gens changent et qu’ils se mettent en chemin pour (se) reconstruire de façon à sortir de la sclérose passive qui tient la France certainement due à l’individualisme et à l’égoà¯sme… Cela ne sert à rien de brà»ler des voitures parce qu’elles n’appartiennent pas à ceux qu’on vise.
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« Ce n’est pas le pouvoir qui corromps, mais la peur » Aung San Suu Kyi
ill : cover of Fear and Politics by Carmen Lawrence