% François Mauriac, pourcent artistique / région Aquitaine
Sur les traitements
Premier essais de transformation de l’image à partir de fichiers jpeg. Ces essais sont faits avec une photographie sans compression temporelle donc, uniquement avec la compression jpeg.
L’image de départ n’est pas assez contrastée, il n’y a pas assez de noirs alors quand on applique directement le type de déformations que j’ai prévu, les effets touchent une grande partie de l’image.
Les déformations sur les pixels sont assez brutales, c’est certainement du à la très haute résolution de l’image et puis à la précision de l’image. Une image vidéo issue d’une caméra n’aura pas ce piqué et sera d’une résolution nettement inférieure. De plus le type de capteurs des caméras et de l’appareil sont différents.
Après plusieurs séries d’essais sur les images fixes jpeg ne sont pas très intéressantes, je ne suis pas convaincu de l’intérêt pictural. Il faut prévoir que le processus de traitement ne se fera pas par rapport à la compression jpeg mais par rapport à la compression vidéo Divx (temporelle).
Sur la compression
Il serait peut-être intéressant d’encoder le film en Divx à la volée à l’enregistrement avec un boitier externe avant de transformer le flux vidéo en série d’images.
Si je sépare le flux vidéo à partir de la caméra et que je le double en encodant un à la volée pour les convertir en même temps en images jpeg sur l’ordinateur, cela permet de dégager complètement la machine des processus d’encodages.
SI les encodages sont conservés en tant que processus, il faut démultiplier le nombre de processus informatiques pour limiter un maximum la charge du système.
Dans le cas où la vidéo est encodée par l’ordinateur, il faudra découper le signal initial en fichiers d’une durée fixe pour ne pas ralentir les post-traitements pendant l’encodage (des fichiers de vidéo brute d’une trentaine de secondes (une minute) seront crées à partir du signal) car il ne sera pas possible pour des raisons techniques de travailler directement sur le flux.