Je ne sais pas comment les mortels peuvent passer d’une couleur à l’autre, comment ils peuvent prendre autant de temps en se recouvrant et se complaisant d’une forme aussi fausse.
C’est evident que je sais, que je vois, que j’aime trop, mais je ne veux pas être lent, je ne veux pas m’arréter, et je les emmerde avec leurs façons. Je t’aimerai comme j’ai envie de t’aimer, sans mourir, sans te voler, comme je le fais depuis que tu me sais. Parceque ce n’est que ça. Pas plus. Et ca ne changera pas… puisque c’est toi qui génères tout ça.