Tout ce qu’il y a de long, c’est de voir ces images si sérieuses du jeu… celui auquel ils jouent au lieu de se dire qu’ils pourraient simplement aller… et d’attendre qu’ils se mettent à pousser trop loin pour ne plus arriver à les comprendre… Je pourrais regarder un film. Au lieu de les écouter, je pourrais. Mais je les laisse faire. Et le pire. Mais je me demande ce qu’ils voient d’eux. En kilos de bulles et de dur. Et je les aime parce que c’est comme ça. Et la fin ne se montre pas, elle se met à disparaître. Et on entend… des fois ce n’est pas long, et on sent… des fois tout s’écarte. Et on (n’)attend(pas)… jusqu’à ce que l’on veuille +géner… et c’est lent, non ce n’est pas ennuyeux, pas toujours, ca dépend de ce qu’on veut… si on le sait. + Et puis la on fait un geste. + Et puis on touche.
Artémisia :
De quelques mots
De regards
En jeux
Rien ne me touche
Rien ne me tend
Rien ne me détruit
J’équilibre
Rorcée
Règlée
je suis lente.