Projet établit en décembre 1997. A la suite de créations de sites web et de la production de vidéogrames. Synthétisation d’une démarche au sein des champs des arts plastiques, en vue d’établir des relations entre mes productions : un travail sur le temps ? Un travail sur les technologies de l’information ? en tout cas un travail sur l’image numérique.
Des vidéogrames numériques : des images sont capturées au hasard d’une idée de départ mettant en scène un corps en tant que chair objet de désir ou simple matière organique fragile et suceptible de porter des marques. Ces images sont ensuites numérisées directement sur un écran de télévision (fréquence 50Hz 25im/s) par l’intermédiaire d’un appareil photo numérique. L’image est alors interprétée numériquement lors de sa transformation de lumière en bits.
lumièrekélectricitéklumièrekélectricité
analogique numérique
C’est une déstructuration de la linéarité du montage initial. Ensuite ces images sont remontées dans un ordre identique mais le nombre de ces images diminue. Il en suit une séquence numérique d’images (fréquence 5 à 10 im/s). Ces images sont refilmées sur un écran d’ordinateur (fréquence de 100Hz, 50 im/s). en variant la fréquence d’obturation de la caméra on peut capturer le chemin parcouru par les électrons qui s’écrasent sur l’écran. On filme ainsi une interprétation technologique d’une image se dessinant électriquement sur une surface traitée à cet effet.
Des sites web essayant de créer un langage en mélant les mots et les images. Ce sont des interfaces réfléchies. Elles sont ergonomiques. Elles mettent en place un système de liens et d’hyperliens regroupant une masse d’informations dispersées sur le réseau de réseaux.
Installations vidéo sur internet. Placer des images qui bougent auxquelles appartient une portion de temps sur internet. Des images séquentielles, qui se répètent sans cesse a chaque ffois que quelqu’un se connecte et ce jusqu’à qu’il se déconnecte. Lorsque plusieurs visiteurs se connectent en même temps, cette série de séquences, unique à son origine se multiplie par le nombre d’utilisateurs et se cale dans leur temps de vistite. La durée de cette expérience esthétique est totalement laissée au choix du spectateur. Il est libre de passer, de quitter de revenir. Cette expérience est similaire en apparence à celle qu’il pourra rencontrer face à une oeuvre exposée dans un musée. A part que cette oeuvre ci s’inclut dans un espace temps n’appartenant q’au spectateur et à chaque spectateur.
Cette suite d’oeuvres est hyperliée, elles sont toutes séparées car apparetenant chacune à un espace virtuel différent et crée pour l’accueuillir.
Lier ces images vidéo animées en gif (format d’images movantes le plus adéquate au web) à des références ou des requètes sur le web. Ainsi faire de ces vidéos les représentations de recherches d’informations sur des sujets propres à elles mêmes.
{ media= »video.gif » onmedia load k query video?gif? }